Aujourd’hui nous constatons que ce qui devait rester exceptionnel – confinement, couvre-feu – semble s’éterniser.
Pour ne pas se laisser dépasser en permanence par l’urgence, il semble nécessaire de questionner l’organisation de nos vies : entre vigilance à l’égard de la maladie qui rôde et maintien de ce qui nous est vital, comme les relations sociales ; entre ce que l’on peut sacrifier et ce qu’il faut sauver.
Comment concilier nos modes de vie avec l’implantation durable du Covid ?
Peut-on espérer une fin nette de l’épidémie ?
Que doit-on inventer pour pouvoir vivre avec la maladie ?